LE SUCCES POPULAIRE D’UNE AUTHENTIQUE COURSE DE MONTAGNE OU L’HISTOIRE FULGURANTE DE LA GRIMPEE DU SEMNOZ / 03-06-12

7ème édition le dimanche 3 juin dans la station du Semnoz

Pour la septième année consécutive, quatre cents avaleurs de cime environ arpenteront la Montagne du Semnoz le dimanche 3 juin. En réalité, ce chiffre n’est qu’un nouveau témoignage de l’insolente et stupéfiante réussite de la section d’athlétisme de l’ASPTT Annecy, précurseur de cette course de montagne, à l’heure où pourtant cette discipline implose en raison de l’omnipotence du trail.

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LA GESTATION (1ER VOLET) :

Secrétaire de l’ASPTT Annecy Athlétisme depuis 2002, Christian Perret n’en démord pas en cette année 2005. Il n’arrive toujours pas à admettre la disparition de compétitions sur le Semnoz, cette montagne qui n’a jamais cessé d’éveiller l’inconscient collectif de chaque Annécien.
Jadis, cette barbacane baujue a été en effet le théâtre de plusieurs épreuves de renom, à l’instar de la Grimpée de Quintal, longue de 8km pour 300m de dénivelée positive, prenant son envol au centre commercial Géant à Seynod pour atterrir à Quintal, village de 1100 âmes accolé au versant ouest. A l’image surtout de l’une des pionnières en matière de course de montagne, celle connectant la préfecture haut-savoyarde à l’hôtel des Rochers Blancs par la route, et qui a survécu une décennie durant, de 1978 à 1987.
Connu comme le loup blanc, ex-cycliste réputé à la Roue d’Or Annécienne, Christian Perret prend alors son bâton de pèlerin. Il s’agit de porter sur les fonts baptismaux une nouvelle manifestation au cœur du Semnoz, ce terrain de jeux situé aux portes de la préfecture haut-savoyarde et laissé incongrûment en jachère dans le domaine de la course à pied.
Cet Annécien pur jus part ainsi démarcher successivement Robert Delorme, adjoint à Quintal, puis son cousin Roland Tuccinardi, propriétaire de l’unique chalet de location de ski alpin sur le Semnoz, mais surtout ami de l’incontournable Gabriel Bibollet, directeur de la station. Même si en temps normal celui-ci n’accorde pas spontanément sa confiance à ses divers interlocuteurs, c’est diligemment qu’il donne son blanc-seing, conscient du label que peut engendrer cet événement. Aussitôt, il s’efforce de convaincre la myriade de communes empiétant sur « le Jardin des Annéciens » d’avaliser le projet, ce qu’il obtient sans coup férir.

Versants passionnel et financier
A l’ASPTT, l’ambiance est à l’euphorie, la valeureuse escouade ayant dorénavant carte blanche pour concocter seul ce rendez-vous qu’elle appelle de ses vœux pour au moins deux motifs :
– De prime abord, l’opportunité de mettre à profit la quasi-absence de course hors stade sur les rivages du Lac d’Annecy. Côté trail, le Tour du Roc des Bœufs apparu en 2001 à la Chapelle-Saint-Maurice vient d’expirer après seulement trois ans d’existence, et l’Annécime, ultra surgi en 2002, a bien du mal à décoller, l’organisation, peu crédible, étant des plus artisanales. Quant aux courses de montagne, il y a bien la spectaculaire Montée de la Tournette au départ de Talloires mais elle est absente du calendrier officiel. En vérité, seule la Grimpée du Laudon sauve l’honneur, la manifestation saint-jorienne ayant diligemment acquis ses lettres de noblesse sur un tracé asphalté qui a toujours fait consensus depuis son éclosion en 1985.
– En second lieu, le volet lucratif, causalité loin d’être quantité négligeable, à l’heure où le club vivote tant bien que mal, ne recueillant plus aucune subvention émanant de France Télécom et de La Poste.

Course de montagne : si ! Trail : no !
D’emblée, deux points taraudent les architectes rassemblés comme un seul homme derrière leur premier de cordée Gérard Rey : le type d’épreuve à mettre sur pied puis la nature du parcours.
Le trail est évoqué mais l’insensé enchevêtrement de chemins dans le Semnoz dissuade promptement de se lancer dans cette hasardeuse aventure qui revêt un danger énorme de fourvoiement. En revanche, la course de montagne qui à cette époque faisait florès suscite l’unanimité en sa faveur.
L’une des vertus essentielles de cette discipline étant sa vélocité, le tracé est étudié en conséquence. Le sentier de grande randonnée bouclant le tour du Lac d’Annecy, dont la technicité ne peut qu’entraver la vitesse, n’est donc pas retenu. En réalité, l’itinéraire opté épouse sur 16,5km pour 1100m de dénivelée positive bitume, pistes sylvicole et de fond, et ce avant de fouler la pelouse alpine accédant au crêt de Châtillon (1699m), toit du Semnoz embrassant un incomparable panorama à 360°. Unique entorse à cette tonicité, la dégringolade finale vers la station, accusant un différentiel de 300m, sillonne des hautes herbes peu engageantes.
Le choix de Quintal pour le départ ne provoque guère de débats, si ce n’est la possibilité de démarrer au centre commercial Géant de Seynod. Cette éventualité est néanmoins rapidement annihilée, son profil roulant jusqu’à Quintal altérant le caractère montagnard de cette compétition. Le Quintali Robert Delorme, l’une des figures tutélaires de cette épopée, jouera bien évidemment un rôle décisif en faveur de sa commune, apportant en tant qu’adjoint le support logistique de la municipalité.
Enfin, la date préemptée, à savoir fin mai, semble judicieusement mûrie. Elle intervient alors que la saison de course en montagne vient à peine d’être entamée, précisément à une période où leurs adeptes, frustrés par l’interminable tempérance hivernale, sont désireux d’en découdre. Par ailleurs, tout risque d’enneigement tardif parait ici écarté à cause de la modestie de l’altitude.
Avec célérité, une détonante équipe autour de Gérard Rey se met alors à l’ouvrage pour concocter dans les meilleures conditions possibles ce premier opus, fixé au 21 mai 2006. Mariant audace, détermination et expérience, ce « Club des Neuf » agrège les égéries de l’ASPTT (voir la liste ci-dessous).

François Vanlaton

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D’UNE EPREUVE PUREMENT LOCALE AU CHALLENGE NATIONAL DES COURSES EN MONTAGNE (2EME VOLET) :

Omniprésent Jean-Pierre Chassagnolle ! Jouant le rôle de coordinateur, il aura en effet baigné de toute son aura cette édition princeps de la Grimpée du Semnoz, de la préparation à l’après-course, sans parler du jour J. N’empêche, très vite, il n’en deviendra pas moins envahissant ! S’immisçant en effet dans tous les domaines, ses coéquipiers furent réduits d’autant à la portion congrue. Inconsciemment, il inhiba quelque peu l’état d’esprit qui devait prévaloir au sein du « Club des Neuf », en l’occurrence celui d’un collectif où chacun des neuf personnages-clefs avait une tâche bien assignée à honorer. En conséquence, l’atmosphère au sein du cénacle s’en trouva quelque peu altérée.
L’engouement n’en fut pas moins éclatant, 476 bipèdes se retrouvant sous les ordres du starter, et à peu près autant pour la randonnée. Preuve que l’activité solitaire mais méticuleuse et débordante de Jean-Pierre Chassagnolle avait porté ses fruits ! Une ferveur qui ne se démentira pas par la suite et si la Grimpée du Semnoz soufflera cette saison ses sept bougies, c’est de toute évidence en partie grâce à lui qu’elle le devra.
Le parcours fit consensus, à l’exception notable toutefois de la descente bordant le télésiège, aussi météorique que violente. Ses détracteurs, un certain nombre de compétiteurs, lui reprochèrent sa dangerosité en raison de sa forte déclivité hors sentier battu, sur une prairie des plus chaotiques. Opinion que partagea Dominique Vouliot, seul membre de la direction de la course à proposer vainement une alternative revêtant un profil moins cassant. Nonobstant ces velléités de changement, le tracé garda son intangibilité pour le second millésime du 27 mai 2007.

L’empreinte d’un collectif
L’homme lige s’éclipsant sous d’autres cieux, « le Club des Neuf », réduit à huit, ne s’en trouva nullement dépourvu, prêt en effet à se mettre en quatre pour prouver qu’un collectif pouvait opportunément et efficacement se substituer à une forte personnalité afin de mener à bien sa mission.
Le succès, tant financier que populaire, fut à la hauteur de ses espérances en dépit d’une météo rendue exécrable par des pluies incessantes mêlées avec un brouillard à couper au couteau, ce qui amena l’organisation à annuler l’ascension du crêt de Châtillon. Avec 488 athlètes engagés, le cru 2007 s’avère encore aujourd’hui comme le plus abouti, du moins concernant les retombées. Ivres de bonheur, les postiers dont la réactivité fut amplement soulignée en modifiant le parcours le matin même, prenaient alors conscience que chacun avait cette fois-ci apporté sa pierre à l’édifice, contrairement au précédent opus où tout reposait sur les épaules de Jean-Pierre Chassagnolle.
Seule ombre au tableau, le nombre de marcheurs diminua de moitié, ceux-ci n’ayant sans doute pas adhéré à l’excès de bitume sur un itinéraire en tous points analogue à celui de la course. Ce chiffre déclinera encore en 2008 (189 personnes), incitant « le Club des Huit » à saborder la marche l’année suivante avant de la faire renaître en 2010 sous la pression des élus et marcheurs eux-mêmes, sans pour autant que l’affluence ne reparte à la hausse (143 personnes).
La décrue enregistrée poussa alors les maîtres d’oeuvre à réagir, désireux de dénicher un public à la course nature qui en est cruellement dénuée. Une seconde randonnée de 8,5km (350m de dénivelée) fit alors irruption en 2011 sur la crête sommitale du Semnoz, générant un afflux de marcheurs (175 au total sur les deux parcours).
Quant à l’épineuse question de la descente le long du télésiège, elle fut réglée en deux temps. De 2008 à 2010, les athlètes dévalèrent en dévers afin de rejoindre la piste de ski alpin, celle utilisée pour le trail blanc, avant que celle-ci ne pénètre en forêt. Cette résolution ne fit pas l’unanimité, Dominique Vouliot, épaulé par Michel Barralon, privilégiant la crête faîtière vers le sud pour emprunter la piste mais cette fois-ci dans son intégralité. Ils obtinrent finalement satisfaction l’année dernière, la descente s’allongeant certes de 300m mais gagnant à la fois en esthétique (belvédère somptueux) et en tonicité (parcours bien matérialisé).

Héroïque résistance contre la déferlante dénommée trail !
Après avoir atteint son acmé en 2007, la compétition ne cessera durant trois ans de voir ses effectifs reculer. On recensera ainsi 413 inscrits en 2008, 387 en 2009, enfin 373 en 2010. Indubitablement, ce lent mais inquiétant reflux atteste de la place grandissante prise par le trail au dépens des autres épreuves hors stade qui auront sans doute mangé leur pain blanc, à l’instar de la course de montagne.
Ce postulat ne peut qu’amener l’ASPTT Annecy Athlétisme à intérioriser à plus ou moins brève échéance l’hypothèse d’une chute sévère de la participation mais qui n’en serait pas moins encore tolérable, se soldant ainsi par 250, voire 300 personnes de moins, course et randonnée confondues. Par contre, au-delà de ce seuil, la pérennisation de ce rendez-vous serait vraisemblablement compromise : la double et lourde logistique, à la fois au départ et à l’arrivée qui ne sont pas identiques, ne pourrait en effet le supporter.
Aussi, la multitude présente sur le cru 2011 aura été la surprise du chef, la compétition excédant de nouveau les 400 inscrits (402 exactement), offrant ainsi une singulière résistance contre la mainmise tentaculaire du trail.
A vrai dire, la fréquentation aura toujours été sensiblement supérieure à celle de la plupart des courses de montagne des Deux Savoie, faisant en outre jeu égal avec la prestigieuse Montée du Nid d’Aigle (386 classés en 2011). Seul le Cross du Mont-Blanc (1314 finishers en 2011) prend un net avantage, cette épreuve disposant d’un énorme pouvoir attractif à l’échelle nationale et même au-delà, la magie de la vallée de Chamonix passant naturellement par là.
D’autre part, la Grimpée du Semnoz réussit à contenir la redoutable concurrence du trail, illustrée chaque année par le Petit Savoyard ou sporadiquement par le Trail des Allobroges (2010) et l’Ultra Tour du Môle (2011). Néanmoins, la tenue une semaine avant le Semnoz des Championnats de France des Courses en Montagne 2012 à Gap ne facilitera certainement pas la tâche de Dominique Vouliot et de ses lieutenants.

Bientôt les France ?
A compter de 2009, soit trois ans seulement après ses prémices, la Grimpée du Semnoz devient l’une des manches du Challenge National des Courses en Montagne. C’est pourquoi l’élite hexagonale, individuels et clubs, accourt aujourd’hui à Quintal, séduits par une compétition de haut vol, attirés encore par les dotations de la FFA au terme de la saison. Celles-ci récompensent en effet en espèces sonnantes et trébuchantes le top cinq de cette Coupe de France, aussi bien les hommes que les femmes ainsi que les formations.
En substance, l’octroi du label national à la Grimpée apparaît bien comme une splendide récompense à leurs géniteurs, témoignant par la même de leur qualité organisationnelle et donc de leur crédibilité.
Consécration suprême, la manifestation pourrait postuler au Championnat de France, à condition toutefois de pouvoir le financer (droit d’obtention, hébergement des officiels…). A condition également de résoudre la problématique partenariale, la FFA ayant un sponsor (Adidas) différent de celui de la compétition haut-savoyarde (Asics). Une équation à deux inconnues que les chantres de la Grimpée du Semnoz pourraient rapidement solutionner tant est grande leur détermination pour parvenir à leurs fins.
Enfin, ces mêmes chevilles ouvrières savent se montrer magnanimes, versant sur chaque édition un euro par participant à une association caritative : Courir Pour Toi en 2006 ; Naevi en 2007-2008 ; A Chacun son Everest en 2009-2010 ; Challenge des Cinq Soleils en 2011-2012 qui voit ainsi ce panel de courses à pied bénéficier d’une subvention de la part d’une autre épreuve de course à pied. De toute évidence, une grande première en Pays de Savoie !

F.V.

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LE COMITE D’ORGANISATION :

Lors de la naissance de la Grimpée du Semnoz en 2006, le comité d’organisation comprenait neuf chevilles ouvrières que voici :

Gérard Rey, né le 20 août 1958, président. Quittant sa fonction en septembre 2009, il est en charge dorénavant des licences.
Christian Perret, né le 20 octobre 1955, secrétaire. C’est bien sûr le leader historique.
André Brenguier, né le 24 juillet 1944, trésorier. Un record sur 10km en 31’22 »en 1973 (second du Dauphiné-Savoie).
Dominique Vouliot, né le 14 février 1962, secrétaire adjoint. Devenu président en septembre 2009, se substituant à Gérard Rey, ce ch’ti, qui a vu le jour au cœur du bassin houiller pas-de-calaisien est aujourd’hui l’homme fort de l’ASPTT Annecy Athlétisme. C’est lui qui a orienté progressivement sa formation vers le trail à partir de 2006.
Emile Le Guen, né le 2 juin 1950, trésorier adjoint, entraîneur attitré depuis 2008.
Patrick Baladié, né le 10 novembre 1970. Responsable du chrono et du site Web où il divulgue les résultats exhaustifs quelques… minutes après le franchissement de la ligne par le serre-file. Ce militaire du 7ème bataillon de chasseurs alpins de Bourg-Saint-Maurice est pareillement un montagnard émérite et un trailer à compter de 2009.
Michel Barralon, né le 15 juin 1965, gérant du magasin Technicien du Sport à Seynod et manager du team éponyme. Une enseigne qui est partenaire de cette Grimpée du Semnoz et un des camps de base organisationnels en tant que réceptacle des inscriptions. Michel est encore en charge du chronométrage, conjointement avec Patrick. C’est l’un des plus brillants coureurs de montagne de sa génération dans les Deux Savoie. En 2009, il étrenne le trail en compagnie de son pote Patrick.
Bouchaïd Kninech, né le 22 avril 1966. Dévolu aux repas, ce qui n’est pas une mince affaire ! Remarquable crossman et routier.
– Enfin, Jean-Pierre Chassagnolle, né le 2 avril 1958, qui sera l’homme à tout faire sur ce lever de rideau avant… de filer à l’anglaise. Des résultats très probants en cross et sur route.

A compter de 2009, trois autres pensionnaires de l’ASPTT vinrent prêter main forte à cette avant-garde. Il s’agit de :
Kristine Mitaut, née le 11 janvier 1961, responsable de la remise des dossards.
Serge Fuentes, né le 21 septembre 1962, en charge du matériel.
Philippe Goffard, né le 13 septembre 1957, qui touche à tout.

Enfin, cette saison a vu Aymeric Moulins, né le 15 octobre 1982, prendre les manettes du site Web, remplaçant ainsi Patrick Baladié qui continue d’officier au chronométrage. Parallèlement, l’équipage a vu le départ de Serge Fuentes.

Cette escouade dirigeante est épaulée par une armada de bénévoles, oscillant entre 60 et 80 suivant les années, dont une quarantaine de licenciés de l’ASPTT. La station du Semnoz est le principal partenaire, contribuant activement au balisage du parcours. N’occultons pas non plus une quinzaine d’autres soutiens dont une minorité de bailleurs de fond.

F.V.


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PALMARES DEPUIS 2006 :

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21 mai 2006
(descente longeant le télésiège) :

Scratch (476 classés) :
– 1er et 1er senior : Jean-Christophe Dupont (Arve Athlétisme Bonneville Pays Rochois) en 1h04’23.
– 2ème et 2ème senior : Rachid Laouar (ASPTT Annecy Athlétisme) en 1h07’33.
– 3ème et 3ème senior : Sébastien Bernardo (Annecy-le-Vieux Of Course) en 1h08’03.

Femmes (76 classées) :
– 1ère et 1ère V1 (51ème au scratch) : Sally Chanel (ASPTT Annecy Athlétisme) en 1h19’06.
– 2ème et 1ère senior (54ème au scratch) : Céline Lafaye (Espérance Favergienne et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h19’23.
– 3ème et 2ème senior (61ème au scratch) : Sandrine Motto-Ros (Annecy-le-Vieux Of Course) en 1h20’07.

Vétérans :
– 1er vétéran (8ème au scratch) : Daniel Devred (ASPTT Annecy Athlétisme) en 1h09’48.
– 1ère vétérane (1ère femme et 51ème au scratch) : Sally Chanel (ASPTT Annecy Athlétisme) en 1h19’06.

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27 mai 2007
(parcours réduit : ascension jusqu’à la 2ème barrière canadienne) :

Scratch (488 inscrits, 456 classés) :
– 1er et 1er senior : Guillaume Fontaine (La Foulée d’Annemasse et Team Socquet Sports) en 59’06.
– 2ème et 2ème senior : Jean-Christophe Dupont (Arve Athlétisme Bonneville Pays Rochois) en 1h00’42.
– 3ème et 3ème senior : Dominique Braun en 1h01’51.

Femmes (77 classées) :
– 1ère et 1ère senior (75ème au scratch) : Sandrine Motto-Ros (Annecy-le-Vieux Of Course) en 1h15’00.
– 2ème et 2ème senior (89ème au scratch) : Karine Marguerettaz (ASPTT Annecy Athlétisme) en 1h16’36.
– 3ème et 3ème senior (97ème au scratch) Claire Berouinsard (ASPTT Annecy Athlétisme) en 1h17’20.

Vétérans :
– 1er vétéran (4ème au scratch) : Alain Bohard (Athlé Saint-Julien 74) en 1h01’58.
– 1ère vétérane (5ème femme et 102ème au scratch) : Djamila Bengueche (La Foulée d’Annemasse et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h17’37.

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25 mai 2008
(descente plus longue et moins raide que celle de 2006, empruntant une majeure partie de la piste de ski alpin) :

Scratch (414 inscrits, 377 classés) :
– 1er et 1er senior : El Yazid El Madi (Union Sportive Oyonnax et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h05’26.
– 2ème et 2ème senior : Cyrille Hanriot (Athlé Saint-Julien 74 et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h06’03.
– 3ème et 3ème senior : Jean-Christophe Dupont (Arve Athlétisme Bonneville Pays Rochois) en 1h07’34.

Femmes (61 classées) :
– 1ère et 1ère senior (40ème au scratch) : Céline Lafaye (Espérance Favergienne et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h20’04.
– 2ème et 2ème senior (59ème au scratch) : Elise Rouchy (Espérance Favergienne et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h22’55.
– 3ème et 3ème senior (62ème au scratch) : Christelle Genin (Espérance Favergienne et Team Stäubli Sports) en 1h23’19.

Vétérans :
– 1er vétéran (4ème au scratch) : Alain Bohard (Athlé Saint-Julien 74) en 1h08’27.
– 1ère vétérane (5ème femme et 94ème au scratch) : Christiane Lacombe (Athlé Saint-Julien 74) en 1h26’53.

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24 mai 2009
(parcours identique à 2008) :

Scratch (360 inscrits, 318 classés) :
– 1er et 1er senior) : Emmanuel Meyssat (Athlétic Club Ondaine Firminy) en 1h03’28.
– 2ème et 2ème senior) : Ivan Bizet (Entente Athlétique Moulins-Yzeure-Avermes) en 1h04’06.
– 3ème et 3ème senior : Ludovic Pellé (Amicale Laïque Echirolles Athlétisme, section de l’Entente Athlétique Grenoble) en 1h04’54.

Femmes (58 classées) :
– 1ère et 1ère senior (42ème au scratch) : Céline Lafaye (Espérance Favergienne et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h20’22.
– 2ème et 1ère V1 (51ème au scratch) : Michelle Leservoisier (Jogg’Attitude et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h22’08.
– 3ème et 2ème senior (59ème au scratch) : Stéphanie Duc (AS de Course à Pied VEO 2000 La Plagne et Mutuelle Existence) en 1h22’48.

Vétérans :
– 1er vétéran (9ème au scratch) : Benoit Nave (ASPTT Annecy Athlétisme) en 1h08’05.
– 1ère vétérane (2ème femme et 51ème au scratch) : Michelle Leservoisier (Jogg’Attitude et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h22’08.

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23 mai 2010
(parcours identique à 2008 et 2009) :

Scratch (376 inscrits, 347 classés) :
– 1er et 1er senior : Cyrille Hanriot (Athlé Saint-Julien 74) en 1h02’26.
– 2ème et 1er V1 : Philippe Charasse (Clermont Athlétisme) en 1h03’51.
– 3ème et 2ème senior : Gilles Segris (Sport Détente des Amis de l’Ecole d’Aix-en-Othe et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h04’11.

Femmes (59 classées) :
– 1ère et 1ère senior (52ème au scratch) : Stéphanie Duc (AS de Course à Pied VEO 2000 La Plagne) en 1h19’10.
– 2ème et 1ère V1 (58ème au scratch) : Michelle Leservoisier (Jogg’Attitude et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h19’40.
– 3ème et 2ème senior (64ème au scratch) : Sylvie Claus (Amicale Laïque Echirolles Athlétisme, section de l’Entente Athlétique Grenoble) en 1h20’22.

Vétérans :
– 1er vétéran (2ème au scratch) : Philippe Charasse (Clermont Athlétisme) en 1h03’51.
– 1ère vétérane (2ème femme et 58ème au scratch) : Michelle Leservoisier (Jogg’Attitude et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h19’40.

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22 mai 2011 (descente encore plus longue et moins raide par rapport à celle prévalant de 2008 à 2010) :

Scratch (402 inscrits, 373 classés) :
– 1er et 1er senior : Renaud Jaillardon (Entente Athlétique Villefranche, section de l’Athlé Calade Val-de-Saône) en 1h05’19.
– 2ème et 2ème senior : Gilles Segris (Sport Détente des Amis de l’Ecole d’Aix-en-Othe, Teams Hoka et Technicien du Sport Seynod) en 1h05’47.
– 3ème et 3ème senior : Ludovic Pellé (Athlétic Club Ondaine Firminy) en 1h06’01.

Femmes (63 classées) :
– 1ère et 1ère senior (49ème au scratch) : Stéphanie Duc (AS de Course à Pied VEO 2000 La Plagne) en 1h20’04.
– 2ème et 1ère V1 (60ème au scratch) : Florence Reignier (Association Sportive Villeurbanne et Eveil Lyonnais) en 1h22’08.
– 3ème et 2ème V1 (70ème au scratch) : Djamila Bengueche (Athlé Saint-Julien 74 et Team Technicien du Sport Seynod) en 1h23’49.

Vétérans :
– 1er vétéran (6ème au scratch) : Jean-Christophe Dupont (Arve Athlétisme Bonneville Pays Rochois) en 1h07’29.
– 1ère vétérane (2ème femme et 60ème au scratch) : Florence Reignier (Association Sportive Villeurbanne et Eveil Lyonnais) en 1h22’08.

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Résultats complets :
Ils figurent sur le site Web de la manifestation :
http://www.lagrimpeedusemnoz.fr/index.php?page=resultats&pub=1


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INFOS PRATIQUES :

Une course et deux randonnées :
– La course :
16,5km pour 1100md+ et 300md-, 60% sur route, 40% en nature.
– Les deux randonnées :
– 16,5km pour 1100md+ et 300md-, empruntant le parcours de la course.
– 8,5km sur la crête sommitale du Semnoz.

Deux challenges :
– Le Challenge National de Courses en Montagne (16 manches) dont la Grimpée du Semnoz est la 4ème étape.
Site Web : http://www.athle.fr/asp.net/main.html/html.aspx?htmlid=4036
– Le Challenge Oxygène des Courses de Montagne (22 manches) dont la Grimpée du Semnoz est la 6ème étape.
Site Web : http://www.oxygene74.com/#

Inscriptions :
– Courrier :
jusqu’au lundi 31 mai à 20h à l’adresse suivante :
Technicien du Sport
Centre commercial « Val Semnoz »
20, avenue de la Périaz 74600 Seynod.
– Site Web (se référer à l’adresse ci-dessous) : jusqu’au lundi 31 mai à minuit.
– Samedi 2 juin de 9h30 à 18h00 : Stand « la Grimpée du Semnoz » dans le centre commercial « Val Semnoz » à Seynod.
– Aucune inscription par téléphone.
– Aucune inscription le jour J sauf pour les deux randonnées.

Montants :
– Course :
13 euros.
– Randonnées de 16,5km et 8,5km : 9 euros.
– Repas facultatif : 6 euros.

Retrait des dossards :
– Samedi 2 juin de 9h30 à 18h00 :
stand « la Grimpée du Semnoz » dans le centre commercial « Val Semnoz » à Seynod.
– Jour J à partir de 7h : salle des fêtes de Quintal.

Départs :
– Course : 9h00, salle des fêtes à Quintal.
– Randonnée de 16,5km : 8h00, salle des fêtes à Quintal.
– Randonnée de 8,5km : 9h00, station du Semnoz.

Renseignements complémentaires :
E-mail de la Grimpée du Semnoz : grimpeedusemnoz@gmail.com
Site Web de la Grimpée du Semnoz : http://www.lagrimpeedusemnoz.fr/
Téléphone du magasin Technicien du Sport : 04-50-69-38-46.


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